
By Fitness Industry Council of Canada
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The federal government’s decision to decline the proposal to have gym memberships and services as a tax deduction included in the budget is a huge disappointment for Fitness Industry Council of Canada (FIC) and all Canadians.
“We understand that there were a lot of demands on the government in this budget, but the ask wasn’t simply for the benefit of the fitness industry – it was for all Canadians,” says Scott Wildeman, FIC President. “The fitness industry has been decimated by the pandemic, suffering financial ruin and tremendous job losses. We were hoping this tax deduction would help breathe life back into the industry. But we will move forward, with or without government support, because we are resilient, and exercise benefits all Canadians.”
FIC plans a major rollout of the Prescription to Get Active, a program that links physicians and health care providers with recreational fitness facilities in communities across the country. Each fitness facility involved in the Prescription to Get Active commits to providing 30 days of fitness for free. Together, FIC and Prescription to Get Active share a goal of getting 1.2 million Canadians active. This initiative positively impacts the employment of young people, the fitness industry as a whole, and the health of Canadians.
Sara Hodson, the advocacy lead for the federal tax deduction, was equally disappointed with the budget, but says that the message that exercise is medicine cannot be ignored, and FIC will continue to advocate for the health of Canadians.” We presented the government with considerable data about the protective health benefits of exercise, for chronic illness and improved mental health, and how exercise can be used to reduce hypertension, protect the heart, and improve blood sugars,” says Hodson. Diabetes Canada, Heart & Stroke and the Canadian Cardiovascular Society all endorsed FIC’s proposal to make gym memberships tax deductible.
“As fitness leaders, our mission is clear,” says Hodson. “Canadians need trained exercise professionals to help lead them out of the dark times of the pandemic. Exercise is essential. Why the government failed to act on this is a question we should all be asking. But FIC will continue to look out for the best interests of all Canadians, and that means getting exercise to everyone who needs it. This isn’t over.”
Le Conseil canadien de l'industrie du conditionnement physique répond à la décision budgétaire de ne pas inclure l'exercice
Le gouvernement fédéral a refusé la proposition de déduction fiscale pour les abonnements aux salles de sport et services de conditionnement physique. Il s’agit d’une énorme déception pour le Conseil canadien de l’industrie du conditionnement physique (CCICP) et tous les Canadiens.
« Nous comprenons que le gouvernement a reçu de nombreuses propositions pour ce budget, mais notre demande ne concernait pas seulement l’industrie du conditionnement physique, mais bien tous les Canadiens », a déclaré Scott Wildeman, président du CCICP. « Notre industrie a été anéantie par la pandémie et a subi des pertes considérables, dont la faillite et de fortes pertes d’emplois. Nous espérions que cette déduction fiscale donnerait un nouveau souffle à notre secteur. Mais notre combat se poursuit, avec ou sans l’appui du gouvernement, car nous sommes déterminés et nous savons que l’exercice bénéficie à tous les Canadiens. »
Le CCICP prévoit un lancement majeur du programme « Prescription to Get Active » (Prescription pour une vie active), qui relie médecins et fournisseurs de soins de santé à des établissements de conditionnement physique récréatifs dans différentes communautés au Canada. Chaque établissement participant s’engage à fournir gratuitement 30 jours de conditionnement physique. Le CCICP et le programme Prescription pour une vie active ont un objectif commun : rendre actifs 1,2 million de Canadiens. Cette initiative aura un impact positif sur l’emploi des jeunes, sur l’industrie du conditionnement physique dans son ensemble et sur la santé des Canadiens.
Sara Hodson, chef de la défense des intérêts pour la proposition de déduction fiscale fédérale, est également très déçue de la décision du gouvernement. Elle souligne que la notion d’exercice comme médicament ne peut être ignorée et que le CCICP continuera de se battre pour la santé des Canadiens. « Nous avons présenté au gouvernement des données considérables concernant les bienfaits de l’exercice pour la santé (physique comme mentale) et les maladies chroniques, montant que l’exercice peut aider à réduire l’hypertension, à protéger le cœur et à améliorer la glycémie », explique Mme Hodson. Diabète Canada, Cœur + AVC et la Société canadienne de cardiologie ont tous soutenu la proposition du CCICP visant à rendre déductibles les abonnements aux centres de conditionnement physique.
« En tant que leaders de l’industrie du conditionnement physique, notre mission est claire », explique Mme Hodson. « Les Canadiens ont besoin de professionnels formés pour les aider à sortir du tunnel de la pandémie, et pour cela l’exercice est essentiel. Nous nous demandons donc pourquoi le gouvernement a décidé de ne pas agir à ce sujet. Malgré cette décision, le CCICP va continuer de défendre les intérêts de tous les Canadiens, à savoir rendre accessible l’exercice à quiconque en a besoin. Notre combat se poursuit. »
Fitness Industry Council of Canada (FIC) is the not-for profit trade association that represents the voice of fitness facility operators across Canada. Representing more than 6,000 facilities with more than six-million members nationwide, FIC pursues a legislative agenda in the hope of bettering the fitness industry for both consumers and operators. FIC aims to work with both industry and government to improve the health and physical activity levels of Canadians.
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Le conseil canadien de l’industrie du conditionnement physique (CCICP) est une association professionnelle sans but lucratif qui se veut la voix des exploitants de centres de conditionnement physique au Canada.